A la veille du premier tour des législatives il est bon de revenir sur l’augmentation prévue de la C.S.G.
Le programme du gouvernement de Emmanuel Macron prévoit une hausse de CSG de 1,7 point, pour financer près de 20 milliards de baisse de cotisations salariales (chômage et maladie.)
Sachant que si l’on se doit d’avoir, en qualité de citoyens, le souci de la notion de solidarité concernant l’amélioration du pouvoir d’achat de ceux qui travaillent, il ne peut être ignoré qu’il existe d’autres sources d’économies à prendre en compte, pour alléger et répartir le poids de la charge. (*)
Ces sources ont été transmises à tous les gouvernants, partis politiques, parlementaires depuis de nombreuses années.
Une hausse de la TVA de 0.5 point aurait du être prise en compte mais, générale, il est vrai qu’elle aurait peut-être eu des conséquences politiques, électorales.
Pour ne pas « avoir cherché de manière équitable» les retraités du secteur privé se trouvent, en effet, victimes «d’une double peine!»
Outre qu’ils vont être taxés au niveau de leur retraite, ils vont également l’être, en plus, comme tous les autres contribuables.
Cela du fait de la suppression, logique, prévue d’un nombre important d’emplois… dans la fonction publique.
En effet les agents licenciés seront indemnisés au même titre, et dans les mêmes conditions, que les salariés du secteur privé.
Le nouveau gouvernement table sur le fait que les retraités investissent rarement la rue pour manifester.
Pour faire entendre «leurs voix» ils ont, dès dimanche prochain, la possibilité de se faire comprendre!